L' Idix globe-trotter

Pour échapper à l'éternel week-end cocooning d'hiver à Paris, Chevelu s'est fait une petite escapade en Thalys jusqu'à Bruxelles, jolie capitale de notre voisine la Belgique.

Dès l'arrivée à Bruxelles Midi, le ton est donné .... nous sommes bien dans la ville de la bande dessinée !!!!



En effet, la Belgique compte plus de 650 auteurs de bandes dessinées (source Wikipédia).

La promenade commence bien avec un soleil radieux et Chevelu, en bon touriste, se dirige évidemment vers la Grand Place ... mais en chemin, il aperçoit un attroupement au détour d'un carrefour et décide d'un petit crochet pour aller voir de plus prêt .... et il tombe sur ....



Mais quelle est donc cette petite statue masquée tout de rouge et d'or vêtue ? Bon sang mais c'est bien sûr !!!! le MANNEKEN PIS !!!!!!!!!!

Allez, un petite halte culturelle .... d'abord la traduction presque évidente "le môme qui pisse" aussi connu sous le nom de Petit Julien. C'est un bronze d'une cinquantaine de centimètres de Jérôme DUQUESNOY l'ancien qui lui aurait été commandé en 1619. La statue actuelle est une réplique puisque l'original aurait disparu dans les années 60. Plusieurs légendes courent sur son origine mais le Manneken Pis est devenu le symbole de l'indépendance d'esprit des bruxellois. Il est de tradition d'offrir au Manneken Pis des vêtements à des occasions spéciales comme celle-ci qui semble célébrer le nouvel an chinois. Pour l'anecdote, il a son pendant féminin bien moins connu, la Jeanneke Pis dans une petite rue de l'autre côté de la Grand Place.

Ce qui permet la transition ... puisque Chevelu arrive enfin sur la place en question ...



Victor Hugo trouvait que c'était une des plus belle place du monde ... peut-être n'a-t-il pas autant voyagé que Chevelu et ses frères. Quoi qu'il en soit, la place est superbe, bordée par l'Hotel de Ville, la maison du roi et plusieurs maisons des corporations. Elle est inscrite depuis 1998 sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO ... jugé par vous-même ...



Ainsi passe la 1ère journée à déambuler dans les rues de Bruxelles, sans oublier de goûter quelques spécialités locales ... difficile de résister au parfum des gaufres chaudes ou aux arômes qui filtrent de chaque boutique de chocolat et elles sont réellement nombreuses .... miam !!!

Le lendemain, un petit tour de métro et zou, Chevelu s'est allé voir l'Atomium.



Créé pour l'exposition universelle de 1958, il culmine à 102 mètres et est composé de 9 sphères en références au 9 provinces belges (qui sont aujourd'hui 10). Il représente la maille élémentaire du cristal de fer agrandie 165 milliards de fois. Comme beaucoup de constructions érigées pour une exposition universelle, l'Atomium ne devait pas survivre plus de 6 mois ... mais sa popularité a fait qu'il est toujours là aujourd'hui pour faire le plaisir de centaines de milliers de visiteurs chaque année.

Après une longue marche à travers les rues et parcs de Bruxelles, Chevelu s'est un peu reposé sur les genoux de Charles Buls ... homme politique et bourmestre de Bruxelles à la fin du 19ème siècle.

Voila le week-end qui se termine et il faut rapidement retrouver le Thalys .... mais pas sans saluer celui qui l'a accueilli à son arrivée .... Chevelu passe donc faire un clin d'oeil au Manneken Pis qui a quitté son habit de fête pour apparaître dans son plus simple appareil ...



la tradition, il n'y a que ça de vrai ... pour conclure cette agréable visite.

Plus loin, toujours plus loin ... Number One est allé chercher le soleil à Hawaï.
Hawaï est le 50ème état à avoir rejoint les Etats-Unis le 21 août 1959.
C'est un archipel composé de 122 îles au beau milieu de l'Océan Pacifique et en fait, le plus méridional des Etats Unis.

Comme le montre la photo, Number One n'a pas résisté au plaisir d'une petite danse avec une jolie polynésienne.

Merci à Johann de l'ECT de Paris Est pour ce rayon de soleil en plein hiver ;-)

Inlassable voyageur, Number One est allé faire un tour au Japon ce printemps.

Loin de l'effervescence citadine des mégapoles nippones, il s'est arrêté un instant pour savourer le paysage au pied du Mont Fuji .... waouhhhh .... ça dépayse !!!!!

Le Fujiyama (ou Fujisan parmi sa trentaine de noms) domine tout le Japon du haut de ses 3776 mètres. Non loin de Tokyo sur l'île  Honshu, la plus grande du pays, c'est un volcan classé "actif avec un faible risque éruptif". En fait, sa dernière éruption date de 1707 .... donc, aucun risque à s'approcher un peu pour admirer le panorama ....

Merci encore à Sylvie AUGUET de la région de St Lazare pour cette photo "du bout du monde" ;-)

Et pour commencer cette nouvelle série de reportage, voici un clin d'oeil de Number One en direct (... ou presque vu qu'il date de l'été 2007) du port de Monaco.

Pour la minute culturelle, Monaco est une principauté d'environ 32500 habitants dont 32% de français alors que d'après Wikipédia, elle ne compte que 19% de Monégasques d'origine.

Sur la côte d'azur à une vingtaine de kilomètres à l'Est de Nice, Number One a savouré la douceur méditerranéenne ....

Merci à Sylvie AUGUET de Paris St Lazare pour sa contribution ;-)

... J'ai pris pas mal de retard depuis l'automne 2007 .... mais accumulé aussi un certain nombre de clichés des 4 coins de la planète ... non, non, je n'exagère pas .... revenez d'ici quelques jours et vous pourrez découvrir quelques reportage de nos chères mascottes roses ...

Désolé pour cette parenthèse et bonne visite ... et n'oubliez pas, ce blog attend toujours vos photos !!!!

Michel

Le temps d'un week-end, Chevelu s'est fait une petite excursion à Londres .... celle-ci fut rapide mais toujours aussi dépaysante dans la capitale anglaise ...

Juste le temps d'une promenade, d'un peu de shopping ... et de cette photo ...

Comme d'habitude, vous n'échaperez au 1/4 d'heure culturel. Ainsi donc, la cabine téléphonique anglaise est la star de toutes les cabines téléphoniques. Elle mesure 90 centimètres au sol et est haute de 2 mètres 40. Elle est construite en fer pour résister aux intempéries et aux coups durs des voyous. Et elle est peinte en rouge vif pour que l’on puisse la repérer de loin. Elle est surtout la fierté des Anglais au même titre que leur bus impérial, leur boîte aux lettres et leur célèbre taxi. La première cabine, la K1 est apparue à Birmingham en 1921. Elle ressemblait à une pagode. En 1923 la poste décide de lancer un concours de design pour créer une nouvelle cabine qui deviendrait la référence dans tout le pays. C’est l’architecte Sir Giles Gilbert Scott qui remporte le concours avec la K2. Le seul hic c’est qu’elle coûte tellement cher à fabriquer qu’elle sera produite uniquement pour Londres et qu’en 1935 elle sera détrônée par un autre modèle : la K6. Malgré ses fragilités la K6 est devenue la cabine préférée des Anglais. Dessinée pour le jubilé du roi Georges V, elle a été produite à soixante dix mille exemplaires dispersés dans toute la Grande Bretagne. Aujourd’hui il en reste treize mille  qui sont un peu considérées comme les joyaux de sa majesté. Deux mille d’entre elles sont même classées monument historique. Aujourd’hui la cabine téléphonique anglaise s’arrache à prix d’or sur des sites de vente aux enchères. (source site arte.tv)

Pour la petite anecdote, cette photo est sans doute, la 1ère qui a été prise après que l'idée de cette aventure numérique ait germé de notre collaboration ... seuls quelques soucis indépendants de notre volonté ont retardé sa publication ... voila qui est chose faite ... veuillez nous excuser pour la gêne occasionnée ;-)

Merci à Vanessa JACOB de la Direction Déléguée Relations Sociales de la DRH pour ce clin d'oeil londonien.

Cet été, Number One est allé passer quelques jours dans les Cornouailles. Ah oui, pardon .... Les Cornouailles sont un comté d'Angleterre situé à l'extrémité sud-ouest du pays.

L'occasion de savourer la douceur de vivre à l'anglaise .... en commençant par le port de St Ives ...

Avouez que vu comme ça, sans autres commentaires, vous auriez pu croire à un petit port méditerranéen.
Bien évidemment, notre ami n'a pu se résoudre à traverser cette jolie région sans faire une excursion ferroviaire ...



... par la gare de St Ives. Le temps d'écrire quelques cartes postales à sa petite famille partie sous d'autres latitudes ...



... et de les poster dans une de ces splendides letterbox ... (ER pour Elisabeth Regina) ... et hop, un tour jusqu'au bout du monde à Land's End (le bout de la terre ... l'autre bout étant John o' Groats  en Écosse.



Même pas peur au bord des falaises ... un vrai baroudeur notre Number One .... mais bon, rien de tel pour se remettre d'une telle promenade ....



... qu'un bon tea time local ... scones, confiture et crème épaisse ... baroudeur mais .... gastronome.

Merci beaucoup  à Jean-Robert JAUBERT de la DRH pour ce très beau reportage.
 

Alors que les premiers frimas viennent blanchir nos campagnes ... Chevelu est allé nous chercher un peu de chaleur outre Atlantique .... il revient directement de Rio ... ben oui, il n'ont pas la vie facile nos pauvres Idix ;-)

Pour l'anecdote, le site actuel de la ville de Rio de Janeiro fut découverte le 1er janvier 1502 par Amerigo Vespucci, au service du Portugal. Le nom de la ville fut le résultat d'une erreur commise par Vespucci lui-même. Étant au mois de janvier et pensant découvrir l'embouchure d'un fleuve ou d'une rivière, le navigateur baptisa le site de la baie de Guanabara Rio de Janeiro (« Rivière de janvier » en français).

Avant de déguster une bonne feijoada (plat typiquement brésilien à base de riz, d'haricots noirs et de viande de porc), il ne pouvait revenir de Rio sans "monter la-haut" .... En bonne mascotte ferroviaire, il a donc emprunter le "Trem de Corcovado", attraction touristique incontournable, inaugurée en 1884 ...

Et au bout du parcours .... tin din !!!!!

Le Christ Rédempteur.  La statue mesure 30 m de haut, pèse 1 200 tonnes avec une envergure de 28 mètres. On peut la voir de toute la ville de Rio de Janeiro. L'idée, lancée par un concours organisé par l'Église en 1921, était de construire un monument religieux pour le centenaire de l'Indépendance du Brésil en 1822 (source Wikipédia).

Ensuite, un petit tour en téléphérique pour admirer le panorama .... de la-haut ...

Le Pain de Sucre est un pic rocheux de 395 mètres à la forme si singulière qui a toujours été le symbole de Rio. Les Indiens l'appelaient autrefois Pau-nd-Acuqua, ce qui signifie « haut promontoire pointu et isolé ». Pour les Portugais cela sonnait comme pão de açúcar, et le pic lui-même leur rappelait la forme de ces moules d'argile utilisés pour faire des pains de sucre. Le nom portugais est resté. Quelle que soit l'heure, la vue depuis là-haut est splendide (source Wikipédia).

Merci beaucoup à Martine Salle de la Direction RH qui travaille au recrutement des Cadres pour ce superbe rayon de soleil

Nos chères mascottes ne pouvaient rater ce rendez-vous annuel ..... c'est Number One qui a gagné le gros lot !!!!

Fidèle à son propriétaire gourmet (ou gourmand selon les perceptions ...), il a commencé son après-midi par l'incontournable moules-frites ....

... rien ne vaut la dégustation des spécialités locales pour se mettre dans l'ambiance !!!!

Ensuite, après-midi "bain de foule" parmi les "bradeux" et les visiteurs des 4 coins de l'hexagone et parfois de bien plus loin ....



Un petit passage par l'opéra de Lille avant d'attaquer des rues beaucoup plus typiques et de découvrir ....


... un des symboles de cette manifestation ... plus si faciles à apercevoir devant les brasseries lilloises.

Pour la petite histoire, le terme de "braderie" viendrait de braaden, terme flamand signifiant "rôtir". Eh oui les ancêtres bradeux ne se retrouvaient pas autour d'un plat de moules-frites, mais ripaillaient avec viandes et harengs rôtis. Les rôtisseurs étaient eux même des marchands "ambulants". A la même époque des cabaretiers s'installent rôtisseurs devant leur échoppe. Une plainte est déposée et après plusieurs années et décisions divergentes, il semble que les commerçants sédentaires aient obtenu gain de cause (source http://www.lavoixdunord.fr/dossiers/braderie/le_coin_des_bradeux/histoire.phtml).

Pas d'affaire extraordinaire mais merveilleuse journée dans la capitale du Ch'Nord

Inlassable, Number One est allé faire un tour sous le viaduc de Millau pour goûter au plaisir des paysages aveyronnais ...

Entre détracteurs et partisans de ce chef d'oeuvre architectural, voici quelques infos :

Il s'est écoulé 17 années entre les premières ébauches et son inauguration sachant que la construction n'a duré que 3 ans. La plus haute pile s'élève à 245 mètres et au plus creux du lit, le Tarn passe à 270 m sous le tablier qui est soutenu par 154 haubans ... presque une Tour Eiffel !!!!

Un grand merci à Agnès LEMOINE de la région de Lyon pour nous avoir fait partager cette balade